Un jour de randonnée à Capri

Embarquement à Sorrento

La veille, nous avons réservé des tickets pour le ferry pour partir dès le deuxième jour à Capri. Les navires parent directement du port de Sorrente, on est ici beaucoup plus près qu’en partant de Naples. Les tickets s’achètent pour toutes les compagnies et tous les départs à la caisse centrale de la Marina Piccola. Quand on rate son bateau, on peut en général prendre le suivant tant que l’on reste dans la même catégorie (ferry ou hydrofoil).

Les hôtels en haut de la falaise datent pour la plupart du début du 20e siècle.

Hôtels de Sorrento. Photo © André M. Winter

Hôtels de Sorrento. Photo © André M. Winter

Les navires sont rapides, le chargement l’est aussi, même si on se sent traité comme du bétail embarqué de Somalie vers l’Arabie Saoudite. Nous partons du molo 1.

Les gens qui s’embarquent ici ne restent que la journée sur l’île, sans doute pour voir des riches que l’on ne voit pas bien sûr. Il n’est pas possible de rester spontanément plus longtemps. Il n’y a aucun camping et  tous les hôtels sont assez chers. Le camping sauvage est bien sûr interdit, même s’il doit être possible de dormir à la belle étoile autour du Monte Solaro.

Transbahutage au départ pour Capri. Photo © André M. Winter

Transbahutage au départ pour Capri. Photo © André M. Winter

Alors que faisons nous à Capri? Nous sommes venus pour randonner! Il y a quelques chemins sympathiques qui passent sur des sentier anciens datant du temps d’avant la construction des routes. Il y a même un télésiège pour monter d’Anacapri vers le Monte Solaro. Notre route à pied: port, Scala Fenica, Anacapri, télésiège Monte Solaro, Passetiello, Capri, Monte Tiberio.

Le grand ferry doit sortir en marche arrière du port Marina Piccola de Sorrento. Pour ceci, le navire dispose de manettes de commande côte proue.

Le capitaine au commandes de proue. Photo © André M. Winter

Le capitaine au commandes de proue. Photo © André M. Winter

Mais avant, il faut longer la côte nord de la Presqu’Île de Sorrente. Prendre le bateau pour Capri c’est aussi une belle balade maritime.

Vue du navire encore à quai.

Port de Sorrento. Photo © André M. Winter

Port de Sorrento. Photo © André M. Winter

La côte nord de Sorrento est raide et les maisons construites en bas ne voient pas souvent le soleil.

Ancienne forteresse du port de Sorrento. Photo © André M. Winter

Ancienne forteresse du port de Sorrento. Photo © André M. Winter

Sorrento, Capri et Amalfi forment un peu la Côte d’Azur italienne. À côté de touristes logeant à la maison en HLM, quelques nouvaux riches, on voit surtout du bling-bling.

Un beaugosse nettoie un yacht. Photo © André M. Winter

Un beaugosse nettoie un yacht. Photo © André M. Winter

Un hôtel de Via Luigi de Maio. Photo © André M. Winter

Un hôtel de Via Luigi de Maio. Photo © André M. Winter

La côte reste très raide et uniquement des longs escaliers et parfois des assesseurs permetent de descendre vers la mer.

Hôtels de la Via Capo. Photo © André M. Winter

Hôtels de la Via Capo. Photo © André M. Winter

Un hydrofoil devant la Presqu'île de Sorrente. Photo © André M. Winter

Un hydrofoil devant la Presqu’île de Sorrente. Photo © André M. Winter

Les hydrofoils sont encore plus rapides que les ferrys normaux, mais le transfert coûte plus que le double. On y perd aussi en vue, car on doit rester à l’intérieur.

Un hydrofoil passe devant le Vésuve. Photo © André M. Winter

Un hydrofoil passe devant le Vésuve. Photo © André M. Winter

La brume matinale cache complètement les villes et la civilisation autour du volcan.

Le Vésuve vu du ferry en route vers Capri. Photo © André M. Winter

Le Vésuve vu du ferry en route vers Capri. Photo © André M. Winter

Les ferrys opérant dans le Golfe de Naples ne traînent pas. Au fond les montagnes de la Presqu’Île de Sorrente.

Le sillage du ferry en route vers Capri. Photo © André M. Winter

Le sillage du ferry en route vers Capri. Photo © André M. Winter

Approche et arrivée à Capri

On s’approche peu à peu de Capri.

Capri dans la brume matinale. Photo © André M. Winter

Capri dans la brume matinale. Photo © André M. Winter

En bas les deux points culminants de l’île, à l’est et à gauche le Monte Tiberio et à droite et à l’ouest le Monte Solaro. Les deux clichés sont pris du ferry matinal vers Capri.

La cruauté de Tibère se montre au Salto di Tiberio. C’est la partie la plus verticale du Monte Tiberio où la légende dit que l’empereur faisait précipiter ses ennemis dans le vide sur près de 300 mètres. Cependant, un objet jeté de là haut se fracasse sur les rochers sans tomber dans l’eau.

Monte Tiberio und Salto di Tiberio. Photo © André M. Winter

Monte Tiberio und Salto di Tiberio. Photo © André M. Winter

Le village de Capri de trouve sur la crête entre les deux sommets de l’île, il s’étend vers le nord jusqu’à la mer et au port Marina Grande.

Arrivée à la Marina Grande di Capri. Photo © André M. Winter

Arrivée à la Marina Grande di Capri. Photo © André M. Winter

Vue vers les versants au nord d’Anacapri. La colline verste est le Monte Capello haut de 515 mètres. Dans l’entaille à gauche se trouve un des deux passages historiques entre les deux parties de l’île: le Passetiello. Nous le prendrons en descente.

Le Monte Capello à Capri. Photo © André M. Winter

Le Monte Capello à Capri. Photo © André M. Winter

Nous ne sommes pas les premiers a arriver et les quais sont déjà pleins de monde.

La Maria Grande di Capri. Photo © André M. Winter

La Maria Grande di Capri. Photo © André M. Winter

Montée par la Scala Fenica

Après le débarquement, nous prenons notre courage à deux mains car nous voyons la montée devant nous. L’escalier Scala Fenica mène vers le village sur la partie ouest, plus haute, de l’île. C’est l’ancienne voie de passage d’avant la construction de la route. La montée est constamment raide et on a aussi un peu d’ombre le matin, mais le soleil est déjà fort à 10h du matin. Nous sommes complètement seuls sur ce passage car les touristes qui montent à Anacapri prennent normalement le bus.

Tout n’est pas noble à Capri, nous restons en Italie.

Vue vers la partie est de l’île.

Marina Grande di Carpi et le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Marina Grande di Carpi et le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

La chapelle sur la Scala Fenica date de 1849. Elle se trouve peu sous la route moderne.

La Chiesa San Antonio. Photo © André M. Winter

La Chiesa San Antonio. Photo © André M. Winter

L’escalier et le chemin est tombé en ruine après la construction de la route. Mais il a été remis en état et en le parcourant, on peut éprouver les peines des habitants quand il n’y avait que ce passage entre le port et Anacapri.

La Scala Fenicia vue d'en haut. Photo © André M. Winter

La Scala Fenicia vue d’en haut. Photo © André M. Winter

Le Monte San Costanzo, la Presqu'île de Sorrento et le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Le Monte San Costanzo, la Presqu’île de Sorrento et le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

On croise la route peu avant d’arriver sur le plateau d’Anacapri. Ce village est un peu le Capri de seconde classe. Les villas sont plus petites et les gens moins peaufinés. Nous ne nous y arrêtons pas et traversons les ruelles avec les échoppes de souvenirs Made in China pour rejoindre le télésiège.

Le télésiège sur le Monte Solaro

Ce moyen de montée est assez original, il nous épargne 250 mètres de dénivelé positif. On est déposé en quelques minutes au point culminant de l’île à 550 mètres, sur le Monte Solaro. On a donc un panorama à 360 degrés, mais la vue vers l’est de Capri est obstruée par des collines.

Nous ne regardons Anacapri que du télésiège. Le village se trouve à 275 mètres d’altitude et compte 6000 habitants. On reconnaît au fond l’île Ischia.

Le village d'Anacapri. Photo © André M. Winter

Le village d’Anacapri. Photo © André M. Winter

Anacapri. Photo © André M. Winter

Anacapri. Photo © André M. Winter

La curieuse église du village date de 1510. On avait alors rassemblés les éléments de plusieurs autres églises et bâtiments pour la former.

La Chiesa Santa Sofia à Anacapri. Photo © André M. Winter

La Chiesa Santa Sofia à Anacapri. Photo © André M. Winter

Panorama du Monte Solaro

On débarque sur le sommet du Monte Solaro et on y monte uniquement pour la vue. Rares sont ceux qui continuent ensuite à pied. Les photos sont prises du sommet et de la plateforme inférieure.

Les Faraglioni se trouve sur la face sud mais plus dans la partie est près du Monte Tauro. Les trois principaux rochers:

  • le plus grand Stella (étoile), 109 mètres est le plus proche de la côte
  • Scopolo (falaise), 104 mètres est le le plus éloigné.
  • entre ces deux se trouve Faraglione di Mezzo (du mulieu), 81 mètres  avec un tunnel naturel de 60 mètres de long au niveau de la mer, qui peut également être traversé par des petits bateaux.

Outre la grotte bleue, les Faraglioni sont l’attraction principale des visiteurs de l’île de Capri. L’administration de l’île prévoit de les éclairer artificiellement les nuits sans lune.

Faraglioni di Capri. Photo © André M. Winter

Faraglioni di Capri. Photo © André M. Winter

Faraglione di Mezzo . Photo © André M. Winter

Faraglione di Mezzo . Photo © André M. Winter

Il Faraglione di Mezzo et le passage d'un bateau touristique. Photo © André M. Winter

Il Faraglione di Mezzo et le passage d’un bateau touristique. Photo © André M. Winter

Les bateaux qui naviguent autour de Capri sont pour la plupart touristiques menant aux Faraglione au sud et à la Grotte Bleue au nord. Lors de nos recherches, nous avons tenté de rejoindre la Grotte Bleue par nos propres moyens, mais on fait tout pour compliquer l’approche à pied et à la nage.

Un bateau à moteur passe au sud de Capri. Photo © André M. Winter

Un bateau à moteur passe au sud de Capri. Photo © André M. Winter

La côte est trop raide pour descendre à pied.

La côte sud de Capri. Photo © André M. Winter

La côte sud de Capri. Photo © André M. Winter

Retour à Capri par le Passetiello

Bien que ce passage entre la parie haute et la partie basse de l’île soit décrit dans tous les guides, on ne trouve aucune indication sur le sommet du Monte Solaro pour descendre vers le village de Capri. Il faut avancer vers l’est sur un des chemins, on arrive automatiquement au bord de la falaise le long duquel on avance vers le fameux passage entre les rochers. Ce passage est rocheux, des chaussures de randonnée sont indiqués.

Vue vers la Presqu’Île de Sorrente, la vue est surement plus claire en hiver.

Capri et la Côte Amalfitaine. Photo © André M. Winter

Capri et la Côte Amalfitaine. Photo © André M. Winter

Le Monte Capello, 515 mètres, se dresse au sud-est sur Anacapri et protège la ville de l’est. La large allée semble avoir été créée pour barrer d’éventuels feux de forêt.

Le Monte Capello. Photo © André M. Winter

Le Monte Capello. Photo © André M. Winter

L’église de Santa Maria a Cetrella se dresse comme un ermitage sur le plateau entre le Monte Solaro et la paroi rocheuse de Capri. Le complexe est grillagé.

Chapelle Santa Maria a Cetrella à Anacapri. Photo © André M. Winter

Chapelle Santa Maria a Cetrella à Anacapri. Photo © André M. Winter

Vue retour vers le Monte Solaro qui a l’air paisible vu d’ici.

Le Monte Solaro vu de l'est. Photo © André M. Winter

Le Monte Solaro vu de l’est. Photo © André M. Winter

Vue plongeante sur le village de Capri. Photo © André M. Winter

Vue plongeante sur le village de Capri. Photo © André M. Winter

Sur les ruines de la ville spoliée au Moyen-Âge se trouve la chapelle Santa Maria del Soccorsio. Au fond la côte de la terre ferme.

Le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Le Passetiello est un ancien sentier qui relie les deux moitiés de l’île. Il mène beaucoup plus haut que la Scala Fenicia et il est donc beaucoup moins fréquenté et non rénové. Dans les endroits où il y a des passages escarpés, des chaussures de montagne sont nécessaires.

Alex sur le Passetiello. Photo © André M. Winter

Alex sur le Passetiello. Photo © André M. Winter

Escalier dans le Passetiello. Photo © André M. Winter

Escalier dans le Passetiello. Photo © André M. Winter

On arrive dans la partie haute de Capri où pavanent les touristes. Nous ne nous y attardons pas, nous ne cherchons pas non plus à regarder par-dessus les murs entourant les villas mondaines. Nous traversons le village d’ouest en est et montons en face vers le Monte Tiberio. Il fait trop chaud pour notre idée de descendre sur la côte sud par la Via Krupp.

Nous profitions de la vue retour sur notre chemin de descente d’Anacapri. Le Passetiello descend par une entaille à peine visible dans la falaise entre Anacapri  et Capri. On peut voir le passage sur la photo: à gauche se trouve une butte arrondie (Monte Santa Maria, 499 m`tres) avec une pointe à droite. Sous ce point, il y a un autre point rocheux, plus petit. Le Passetiello se faufile exactement entre ces deux sommets pour pénétrer plus bas dans la haute forêt de chênes.

Le Monte Santa Maria et le Passetiello. Photo © André M. Winter

Le Monte Santa Maria et le Passetiello. Photo © André M. Winter

La Villa Jovis sur le Monte Tiberio

Le chemin entre Capri et le Monte Tiberio passe sur des routes entre des villas et des maisons d’habitants locaux. Cela dure, surtout si on est déjà passé par Anacapri avant.

Une des villas de l’empereur Tibère se trouve sur le point culminant de la partie est de Capri. Pendant dix ans, Tibère règne d’ici sur Rome. L’entrée est payante, mais le service et les informations sont inexistantes.

En bas la vue retour de l’intérieur de la villa.

Vue retour vers Anacapri. Photo © André M. Winter

Vue retour vers Anacapri. Photo © André M. Winter

La villa Jovis est un site archéologique dans lequel se trouvent les vestiges de la probable résidence de l’empereur Tibère de 27 à 37 sur l’île de Capri. Située à 334 m d’altitude, sur un éperon rocheux du mont Tiberio, son belvédère permet de visualiser tout un panorama qui va de la baie de Naples et le golfe de Salerne jusqu’aux terres du Cilento. Elle est la plus grande des douze villas tiberiennes de Capri mentionnées par Tacite. Aujourd’hui, en grande partie détruite, elle est caractérisée par une construction massive à plan carré faite de maçonnerie de type opus reticulatum en tuf phlégréen datant du siècle d’Auguste, puis en opus incertum en calcaire local alterné de terre cotta modifiée à l’époque de Tibère. L’ensemble des corps de bâtiments couvraient plusieurs terrasses de 7000m² auquel doit être ajouté plus de 13000m² de jardins et nymphées. Le complexe impérial est centralisé autour d’un important impluvium constitué, entre autres, par quatre grandes citernes. L’aile nord et est du bâtiment abritait les appartements privés de l’empereur, du côté ouest sur trois niveaux se trouvait le quartier des serviteurs, tandis que l’aile sud accueillait l’atrium et l’espace thermale. Plus au sud, isolée de la villa, se dresse la tour du phare utilisée sans doute pour communiquer par signaux optiques avec la flotte impériale basée à Misène. Source: Wikipédia

Accès à la Villa Jovis à Capri. Photo © André M. Winter

Accès à la Villa Jovis à Capri. Photo © André M. Winter

Ruine da la Villa Jovis à Capri. Photo © André M. Winter

Ruine da la Villa Jovis à Capri. Photo © André M. Winter

Dans la Villa Jovis de Capri. Photo © André M. Winter

Dans la Villa Jovis de Capri. Photo © André M. Winter

Murs de la Villa Jovis à Capri. Photo © André M. Winter

Murs de la Villa Jovis à Capri. Photo © André M. Winter

Les chèvres tiennent certes la végétation basse, mais ce n’est pas idéal pour préserver les ruines.

Une chèvre dans les ruines de la Villa Jovis. Photo © André M. Winter

Une chèvre dans les ruines de la Villa Jovis. Photo © André M. Winter

Vue plongeante du Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Vue plongeante du Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Au premier plan le cap Punta Campanella et le Monte San Costanzo, 498 mètres. Tout au fond le massif du Monte San Michele, 1425 mètres.

Vue de Capri sur la presqu'île de Sorrento. Photo © André M. Winter

Vue de Capri sur la presqu’île de Sorrento. Photo © André M. Winter

L’habitant de cette villa loge un peu comme Tibère jadis.

Une villa à Capri. Photo © André M. Winter

Une villa à Capri. Photo © André M. Winter

Rembarquement pour Sorrentto

Nous reprenons un ferry tout aussi rempli de touristes journaliers qu’à l’aller. La lumière du soir sur la Côte de Sorrente vaut à elle seule le voyage.

On distingue le tracé du funiculaire de Capri sur les deux photos ci-bas. Il monte entre les maisons et les jardins de citronniers.

Cirque de la baie de Marina Grande di Capri. Photo © André M. Winter

Cirque de la baie de Marina Grande di Capri. Photo © André M. Winter

Le village de Capri. Photo © André M. Winter

Le village de Capri. Photo © André M. Winter

Nous voilà de retour sur le ferry. Vers 16 heures, la grande majorité des touristes quitte l’île et le bruit des moteurs de bateaux de toutes taille est infernal. Cela contraste fort avec le port sinon paisble.

La Marina Grande di Capri. Photo © André M. Winter

La Marina Grande di Capri. Photo © André M. Winter

Les ferrys accélèrent dès la sortie du petit port. Les fonds sont profonds et il n’y pas de sable.

Capri, c'est fini. Photo © André M. Winter

Capri, c’est fini. Photo © André M. Winter

Nous passons à la Marina du Caterola au nord de l’île.

Côte de Capri. Photo © André M. Winter

Côte de Capri. Photo © André M. Winter

Une dernière fois le Monte Tiberio, 335 mètres.

La Punta del Capo et le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

La Punta del Capo et le Monte Tiberio. Photo © André M. Winter

Capri vue du nord. Photo © André M. Winter

Capri vue du nord. Photo © André M. Winter

Contrairement au drapeau national italien, le drapeau marin civil arbore aussi l’emblème de l’Italie.

Drapeau italien marin . Photo © André M. Winter

Drapeau italien marin . Photo © André M. Winter

Le Monte San Constanzo et la Punta Campanella. Photo © André M. Winter

Le Monte San Constanzo et la Punta Campanella. Photo © André M. Winter

Près du cap se trouvent quelques zones côtières moins raides mais toujours rocheuses.

Il Capo di Massa. Photo © André M. Winter

Il Capo di Massa. Photo © André M. Winter

Marina della Lobra et Massa Lubrense. Photo © André M. Winter

Marina della Lobra et Massa Lubrense. Photo © André M. Winter

Très vite commence cependant la côte verticale.

Le Monte San Michele. Photo © André M. Winter

Le Monte San Michele. Photo © André M. Winter

Vico Equense et le Monte Faito. Photo © André M. Winter

Vico Equense et le Monte Faito. Photo © André M. Winter

Le Monte Vico Alvano est haut de 642 mètres.

Le Monte Vico Alvano. Photo © André M. Winter

Le Monte Vico Alvano. Photo © André M. Winter

Nous approchons notre point de départ du matin.

Le port de pêche Marina Grande di Sorrento. Photo © André M. Winter

Le port de pêche Marina Grande di Sorrento. Photo © André M. Winter

Nous passons au pied de notre camping Santa Fortunata. Il est caché sous les pins et les chênes au centre de la photo. La baie à droite fait partie du camping, un escalier de 50 mètres y descend en lacets.

Le Camping Santa Fortunata vu de la mer. Photo © André M. Winter

Le Camping Santa Fortunata vu de la mer. Photo © André M. Winter

Sorrento vu de la mer. Photo © André M. Winter

Sorrento vu de la mer. Photo © André M. Winter

Embarcadère et hôtels de la La Marina Piccola di Sorrento. Photo © André M. Winter

Embarcadère et hôtels de la La Marina Piccola di Sorrento. Photo © André M. Winter

Cette entaille permet de descendre du plateau vers le port. La route y fait des virages serrés, les bus publiques sont spécialement courts pour pouvoir y manœuvrer.

Les gorges de Sorrente débouchent dans la Marina Picola. Photo © André M. Winter

Les gorges de Sorrente débouchent dans la Marina Picola. Photo © André M. Winter

Chapelle dans les Gorges de Sorrente. Photo © André M. Winter

Chapelle dans les Gorges de Sorrente. Photo © André M. Winter

Nous montons à pied pour rejoindre le centre-ville pour prendre le bus qui nous ramène en quelques minutes au camping. Nous sommes crevés.

 

 

 

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