Nous quittons Oviedo et filons droit vers le nord au Cabo de Peñas. Nous y allons pour le phare, mais nous découvrons que l’on peut grimper un peu en direction de la pointe. Il y a aussi une aire de pique-nique avec des tables. Il fait beau et il n’y a exceptionnellement presque pas de vent, c’est ici que nous nous attablons pour le casse-croûte.
Le phare est construit en 1929, mais un feu existait ici depuis 1852. Il se trouve sur la pointe septentrionale des Asturies. Depuis peu, la grande maison de gardiens abrite une exposition marine du Centro de Interpretación del Medio Marino de Peñas. Le cap est aussi un site protégé.
Pour accéder au cap, il faut passer à droite sous le bar.
Il faut grimper sur les rochers à partir de la fin du chemin.
Nous découvrons d’ici la vue sur les Picos d’Europa. Nous prévoyons de rejoindre plus tard d’autres points de vue bien plus près, mais les nuages nous nous permettrons plus de les voir de manière si dégagée.
Le cap ne marque pas le premier bout de terre, des îles et une multitude d’écueils sont parsemés à l’avant et ceci justifie l’emplacement du phare.
Nous revenons de la pointe et passons maintenant sur un large chemin devant le phare.
Comme tout cap océanique qui se respecte, le Cabo de Peñas est doté d’une corne de brume. En cas de visibilité amoindrie, elle émet la lettre P en code morse, c’est à dire: court, long, long, court.
Non loin du phare, sur le plateau, se trouve fort curieusement rénové et apparemment sans fonction.
Sur le chemin du cap vers l’est en direction de Candás, nous passons près de cet hórreo rénové et transformé en terrasse.
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