Visite de la Distillerie Bologne

Rhum Bologne

Avenue des Pères Dominicains, Ville de Basse-Terre, Guadeloupe, Antilles françaises, France, Union Européenne

Alex débute la visite à l’ouverture à 9 heures du matin et il n’y a pas encore d’autres visiteurs.

Voir aussi la page Visites culturelles en Guadeloupe.

Cette année, il a beaucoup plu et la canne à sucre n’a pas encore pu être coupée mi février car son taux en sucres était insuffisant.

Les bouteilles disponibles à goûter et à l’achat.

Panoplie de la Rhumerie Bologne. Photo © Alex Medwedeff

Panoplie de la Rhumerie Bologne. Photo © Alex Medwedeff

Historiquement et de nos jours encre sur l’île de Marie Galante, on coupe une dizaine de pantes de canne à sucre, on enlève le feuillage et on noue les tiges avec les feuilles. Ces bottes sont ensuite transportés sur charrettes à l’usine sucrière. Sur les grands champs de Guadeloupe la récolte est mécanisée.

La photo de gauche montre des petits  plants en bordure de champs.

Les machines sont prêtes à l’emploi mais la canne n’est pas encore prête.

Dans les distilleries locales on fait les choses en gros…

Sous cet hangar se trouve une partie de la chaîne de production du rhum.

Hangars de la rhumerie Bologne. Photo © Alex Medwedeff

Hangars de la rhumerie Bologne. Photo © Alex Medwedeff

L’ancienne maison en bois est peinte aux couleurs vives.

André ne peut pas participer à cette visite, il est cloué pour à peu près 48h au lit. Il dort presque tout le temps et après ce temps il est remis entièrement. C’est une évolution de maladie qui lui est complètement inconnu et nous n’en éluciderons pas les causes. On pense à une infection virale ou une piqûre  d’insecte contractée dans les Monts Caraïbes.

Notre punch à la maison

Le rhum blanc Bologne existe en deux versions: 1 litre avec l’étiquette basse verte à 50°et 70cl avec une étiquette rouge à 55°. Le deuxième est aussi sensiblement plus cher (mais toujours très bon marché) que le premier. Avec les 5° de plus viennent aussi plus de goût selon nous, nous l’avons en tout cas préféré.

Boire le rhum à la manière guadeloupéenne, du moins tel que c’est décrit et offert partout, était trop fort à notre avis. On avait concocté nos propres punchs fruités ainsi:

  • 1/6 de rhum à 55° (en gros un centimètre dans le verre).
  • 1/6 d’eau ou moins (jusqu’à un autre centimètre).
  • 4/6 de jus de fruit (goyave, tamarin, passion, ananas), on l’a pris en boîte (le reste du verre).
  • une giclée de sirop de canne local.

Ne pas oublier de bien remuer.

La photo de droite monte une pâtisserie au nom de pomme-cannelle. La pomme-cannelle est un fruit tropique, mais il n’y en a pas dans cette pâtisserie à la levure et qui est assez peu sucré.

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